Je m'étends, Tu te meus et je meurs. Je meurs à mon désir, j'ouvre à mon apesanteur. J'écoute ton haleine Je la sens jubiler à mes plaintes de femmes Mais elle ne sont pas ta victoire Et tu n'est déjà plus mon maître. J'accueille nos soupirs parce qu'ils sont les messagers du souffle qui nous unit Pour que je sois Et que tu vives.

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15 Kundalini